J'ai tant tenté d'enluminer d'éclat le jour ébouriffé
D'enflammer l'or du ciel délaissé
Tant en cantate qu'en sonate,
Comme Bamoravi embrase le clavecin-flûte
Et flatte les sanglots
En Presto Capricioso,
Nos yeux au regard cousu, dessillés.
Doux-aimés.....
A ma main croquevillée d'âme et de cil-anse
J'ai accroché la plus belle emmêlée de branches,
A ton Art-Preux délicat de lin brodé
Si près-cieux-aimant au bout du sentier,
L'infinitude de l'ombre plissée
A l'étoile du sOleil étoffée ...
Le temps avance et pose son espère-anse,
Froisse, érafle et gratigne nos ailes,
Mais il chante l'hymne à la Vie respirée
Sous une à-rosée d'arcs-anges messagers
Au coeur appelé.
Je plane et flâne dans la jaspure du cil-anse,
Friande de l'appétence des mots, au petit mât-teint,
Je joue et veille à la note perdue dans l'Haut-bois,
Dès l'aube crépusculaire
Jusqu'à l'or-aure or-rangée, au vieil or,
Entre brise et vent fort...
J'ai tant tenté.
Den
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